panem - Torrance

TORRANCE SWANN WHITE


DOSSIER DU CAPITOLE CLASSÉ TOP SECRET DE L'INDIVIDU X-004AC-17-043 :

Ce dossier est celui de Torrance Swann White, un habitant du district 00. Elle est âgé(e) de 19 ans et vient d'un milieu pauvre. Apolline a pour métier, Mentor et ça ne lui plaît pas . Cette personne ne peut plus être tirée au sort pour les prochains Hunger Games. Ellen'apprécie pas la diffusion des jeux et pense que l'ordre de Mockingjay est le premier pas vers le changement. Torrance est d'ailleurs quelqu'un qui n'a pas participé à la rébellion lors des jours sombres. Elle n'a pas perdu de proche(e)s lors des anciennes éditions des Hunger Games puisqu'elle y a participé. Elle pense que les jeux sont le meilleur moyen d'avoir le contrôle sur la population et aimerait dans l'avenir que le monde change définitivement.

VOTRE INTERROGATOIRE SECRET :

COMMENT FONCTIONNEZ-VOUS ? : Je ne suis pas quelqu’un qui a une personnalité bien difficile à cerner. On m’a souvent dit que j’étais naïve ; que je croyais à tout ce que l’on me disait, mais je pense que ce n’est pas entièrement vrai. Je ne fais pas attention aux choses superficielles, mais quand c’est grave je suis beaucoup plus vive d’esprit que ce que vous croyez. Je n’ai pas un tempérament rebelle, je me plis généralement assez bien aux règles si la survie de personne n’en dépend. J’ai conscience de faire passer souvent les autres avant moi, je considère que s’ils sont heureux, je n’ai aucune raison de ne pas l’être. On me voit souvent comme la petite fille fragile auquel il faut faire attention. On me voit faible autant mentalement que physiquement. Ce n’est pas vrai… Je ne suis pas un poids mort. Je me méfie généralement de tout ce qui me semble croche, le capitole en particulier.
QUE PENSEZ-VOUS DU PRÉSIDENT O'CONNELL : Ce type est un lâche. La seule manière qu'il a trouvé pour tenir le peuple en laisse c'est de s'attaquer à l'avenir des districts. Son règne de terreur sera court, d'une manière ou d'une autre il finira par tomber de son piédestal et il sera confronté à cette réalité que nous, peuple de Panem, devons subir depuis dix ans. Je n'encourage pas la rébellion, mais notre vengeance sera terrible... 
VOTRE NOM PEUT/AURAIT-PU ÊTRE TIRÉ COMBIEN DE FOIS : Je n’ai pas essayé de faire de mon nom un objet commun dans cet urne dans laquelle ils pigent les noms, mais parfois le choix n’en a pas été un. Je prends une Tesseares par année pour être certaine que ma famille s’en sorte bien… Mon nom aurait donc pu être tiré 12 fois.
QUELLES SONT VOS FORCES DANS VOTRE VIE : 
L’espoir illusoire d’une liberté futur me force à continuer sur cette voie. Sans avoir le courage de rejoindre la rébellion et trouvant même que celle-ci n’arrivera à rien, je continus de croire en ce triste espoir. J’espère juste qu’un jour, je puisse vivre une vie dans laquelle le Capitole n’aura plus ce pouvoir terrifiant sur le peuple… Ce qui me pousse à survivre, c’est de croire en des jours meilleurs. En même temps, j’ai ma petite famille dont je dois m’occuper, car sans moi il est impossible qu’elle survive… Tout ça, je le fais pour les gens que j’aime. 
QUEL EST VOTRE AVIS SUR LES JOURS SOMBRES :
Je trouve le peuple courageux pour ainsi s'être élevé contre le Capitole, mais je ne peux m'empêcher de me dire que s'ils seraient restés tranquilles, la vie ne serait pas ce qu'elle est actuellement. Ils sont la cause de la mort de 23 enfants parmi le peuple chaque année. Ils n'avaient pas la moindre chance contre eux et ils n'en auront jamais. Ils ne font que rendre la vie du peuple sans cesse plus difficile à supporter ; le Capitole aime bien punir les rebelles. 

POUR QUELLE RAISON POURRIEZ-VOUS TUER QUELQU'UN : 
Si quelqu’un que j’aime est en danger, je n’hésiterais jamais à tuer qui que ce soit le méritant… Je ne souhaite également pas mourir pendant les jeux pour la simple raison que si je meurs, il n’y aura plus personne pour assurer la survie de ma famille. Je ne ressens aucune joie à tuer des innocents, mais je dois avouer que tuer les adeptes des Hunger Games pendant ceux-ci ne me ferait sans doute pas de mal. 

mon histoire

« Torrance White ! » la voix de Camille Smallwood résonne à travers le district tout entiers. Après avoir entendu mon nom plus rien ne me semble réel, c'est comme si j'observais le déroulement de la moisson en dehors de mon corps. Je me vois marcher vers l'estrade le visage livide. Je ne peux m'empêcher de remarquer que je marche d'une façon très étrange, je ne suis pas la ligne droite à laquelle je m'efforce de coller mes pas habituellement. Je titube et monte tant bien que mal pour rejoindre Camilla qui s'apprête à annoncer le garçon de mon disctrict qui m'accompagnera dans l'arène. Je ne retiens pas son nom, dans une autre situation je l'aurais fait, c'est un truc qui me vient naturellement, je retiens les noms des gens, leurs dates de naissances, leurs habitude, je suis très observatrice et j'ai un talent naturel pour amener les autres à parler. Cependant le choc est trop intense pour agir naturellement, je ne parle pas du choc de l'appel de mon nom mais celui que j'ai eu en voyant la réaction de ma sœur. Ma grande sœur qui est tout pour moi et pour qui je suis la chose la plus précieuse au monde. Cela fait déjà deux ans qu'elle n'a plus rien à craindre des jeux de la faim, enfin rien en ce qui la concerne mais je sais que chaque années depuis que j'ai douze ans elle ne mange pas ni ne dort le jours de la moisson car elle a peur que je m'en aille. Je ne l'ai jamais vu pleurer de toute ma vie, pas même quand sa meilleure amie d'enfance s'est faite tuée dans l'arène il y a quatre ans alors la voir ainsi provoque en moi une vague de choc et de révolte, je me rends compte que ceux qui souffrent le plus des jeux sont les familles des tribus qui se battent. Je n'ai pas le temps d'essayer de la rassurer du regard car Camilla me prends par le bras pour me conduire à la mairie où elle m'installe dans une pièce vide et peu accueillante. Voilà le moment des adieux. Les premières personnes à entrer sont mes parents. Ma mère se rue littéralement sur moi et me prend dans ses bras en pleurant bruyamment. Entre deux hoquets elle me dit qu'elle m'aime et que je dois faire tout mon possible pour gagner. Mon père me regarde avec compassion et amour, lui et moi n'avons aucun besoin de parler pour nous comprendre. Je lis dans son regard que je vais lui manquer et qu'il pense que je peux gagner. Après un dernière câlin on fait entrer une autre personne, sans doute la dernière. « Oh mon Dieu Torr, je suis désolé. C'est injuste tu ne devrais pas être là. » Je pris ma sœur dans mes bras. « Arrête de pleurer Anna, tout va bien se passer tu verras. » je ne sais pas pourquoi mais je me sentais obligée de la rassurer, je ne voulais pas qu'elle s'inquiète et si quelque chose devait mal tourner je ne voulais pas qu'elle s'arrête de vivre à cause de moi. Annabella avait un si bel avenir devant elle, elle est intelligente et belle, elle réussit tout ce qu'elle entreprend et je ne connais pas une seule personne dans se fichue monde qui n'adore pas Annabella Donovan.

La préparation.

L'arène.

La vie comme vainqueur.

L'ordre que geai moqueur.